
Ces applications cartographiques peuvent permettre a tout un chacun ou aux ayant droits d’avoir accès à des données cartographiques en un temps réduit.
L’attrait principal réside dans la distribution rapide d’information(s) via l’Internet ou l’intranet de type raster, images satellites, ou cartes topographiques, mais aussi de données vectorielles (entités administratives, aires de projets…).
La possibilité de draper via un protocole WMS (Web Map services) d’autres couches pouvant provenir d’autres organisations n’est pas négligeable. Un outil à faire prévaloir, qui nécessite tout de même du temps à mettre en place. Certains « packages » tel l’outil Cartoweb facilitent la tache, mais l’outil ne devient intéressant qu’une fois que les données sont acquises et suffisamment structurées, et seulement avec un nombre d’utilisateurs suffisants.
L’outil est particulièrement adapté pour montrer de manière dynamique (zoom, affichage de couche, requêtes) la situation des opérations des ONG. Une multitude de cartes, un interface pour consulter au lieu de x PDF… ou x petites cartes…)
Un outil qui vient à point une fois le gros d’une crise humanitaire passé OU idéalement qui devrait être préparé avant une crise afin de pouvoir diffuser largement les informations. Il serait peut être intéressant de développer l’outil, tout comme le font le UNHCR et CartONG en matière de SIG, et d’avoir un package de données générales qui permet d’avoir des fonds de cartes afin de travailler rapidement. Concept a développer aussi pour du webmapping ?
Cette formation était proposée par CamptoCamp dans le cadre d’un partenariat entre l’ONG et la compagnie assurant des geoservices basés sur des logiciels libres.